Article Spinoza du Dictionnaire historique et critique de Bayle/A

De Spinoza et Nous.
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(A) Il a été un athée de système, et d’une méthode toute nouvelle, quoique le fond de sa doctrine lui fût commun avec plusieurs philosophes anciens et modernes, européens et orientaux. Je crois qu’il est le premier qui ait réduit en système l’athéisme, et qui en ait fait un corps de doctrine lié et tissu selon les manières des géomètres ; mais d’ailleurs son sentiment n’est point nouveau.

[LISTE de quelques personnes qui ont eu le sentiment de Spinoza]

Il y a longtemps que l’on a cru que tout l’Univers n’est qu’une substance, et que Dieu et le monde ne sont qu’un seul être. Pietro della Valle a fait mention de certains mahométans qui s’appellent Ehl-el-Tahkik, ou hommes de vérité, gens de certitude, qui croient qu’il n’y a pour tout que les quatre éléments, qui sont Dieu, qui sont l’homme, qui sont toutes choses[1]. Ils parlent aussi des Zindikites, autre secte mahométane. Ils approchent des saducéens, et ils ont pris leur nom d’eux. Ils croient qu’il n’y a point de Providence ni de résurrection des morts, comme l’explique Giggoïus sur le mot Zindik[2]Une de leurs opinions est que tout ce que l’on voit, que tout ce qui est dans le monde, que tout ce qui a été créé, est Dieu[3].

Il y a eu de semblables hérétiques parmi les chrétiens ; car nous trouvons au commencement du XIIIe. siècle un certain David de Dinant, qui ne mettait nulle distinction entre Dieu et la matière première. On se trompe quand on affirme qu’avant lui personne n’avait débité cette rêverie[4]. Albert-le-Grand ne parle-t-il pas d’un philosophe qui l’avait débitée ? Alexander Epicureus dixit Deum esse materiam, vel non esse extra ipsam, et omnia essentialiter esse Deum, et formas esse accidentia imaginata ; et non habere veram entitatem, et ideo dixit omnia idem esse substantialiter, et hunc Deum appellavit aliquando Jovem, aliquando Apollinem, et aliquando Palladem ; et formas esse peplum Palladis, et vestem Jovis ; et neminem sapientum ajebat ad plenum revelare posse ea quæ latebant sub peplo Palladis et sub veste Jovis[5].

Quelques-uns croient que cet Alexandre a vécu au temps de Plutarque[6] ; d’autres marquent en propres termes qu’il a précédé David de Dinant. Secutus fuit Alexandrum qui fecit librum de materia, ubi probare conatur omnia esse unum in materia. C’est ce que l’on lit à la marge du Traité où Thomas d’Aquin réfute cette extravagante et monstrueuse opinion[7]. David de Dinant ignorait peut-être qu’il y eût un tel philosophe de la secte d’Épicure ; mais pour le moins faut-il qu’on m’avoue qu’il savait très-bien qu’il n’inventait pas de dogme. Ne l’avait-il pas appris de son maître ? N’était-il pas le disciple de cet Amaulri, dont le cadavre fut déterré et réduit en cendres l’an 1208, et qui avait enseigné que toutes choses étaient Dieu, et un seul être[8] ? Omnia sunt Deus : Deus est omnia. Creator et creatura idem. Ideæ creant et creantur. Deus ideò dicitur finis omnium, quòd omnia reversura sunt in ipsum, ut in Deo immutabiliter conquiescant, et unum individuum atque incommutabile permanebunt. Et sicut alterius naturæ non est Abraham, alterius Isaac, sed unius atque ejusdem : sic dixit omnia esse unum, et omnia esse Deum. Dixit enim, Deum esse essentiam omnium creaturarum[9].

Je n’oserais dire que Straton, philosophe péripatéticien, ait eu la même opinion ; car je ne sais pas s’il enseignait que l’Univers ou la Nature fût un être simple, et une substance unique : je sais seulement qu’il la faisait inanimée, et qu’il ne reconnaissait d’autre Dieu que la Nature. Nec audiendus ejus (Theophrasti) auditor Strato is qui physicus appellatur, qui omnem vim divinam in natura sitam esse censet, quæ causas gignendi, augendi, minuendi habeat, sed careat omni sensu ac figura[10]. Comme il se moquait des atomes et du vide d’Épicure, on pourrait s’imaginer qu’il n’admettait point de distinction entre les parties de l’Univers ; mais cette conséquence n’est point nécessaire. On peut seulement conclure que son opinion s’approche infiniment plus du spinozisme, que le système des atomes.

La voici plus amplement exposée : Negas sine Deo posse quicquam, ecce tibi è transverso Lampsaccnus Strato, qui det isti Deo immunitatem magni quidem muneris. Sed quum sacerdotes deorum vacationem habeant, quanto est æquius habere ipsos deos ? Negat opera deorum se uti ad fabricandum mundum. Quæcunque sint docet omnia effecta esse natura, nec ut ille qui asperis, et levibus, et humatis, uncinastique corpusculis concreta hæc esse dicat interjecto inani, somnia censet hæc esse Democriti non doncentis, sed optantis. Ipse autem singulas mundi partes persequens, quicquid aut sit, aut fiat, naturalibus fieri, aut factum esse docet ponderibus et motibus : sic ille et Deum opere magno liberat, et me timore[11]. On a même lieu de croire qu’il n’enseignait pas, comme faisaient les atomistes, que le monde fût un ouvrage nouveau et produit par le hasard ; mais qu’il enseignait, comme font les spinozistes, que la Nature l’a produit nécessairement et de toute éternité. Les paroles de Plutarque que je vais citer signifient, ce me semble, si on les explique comme il faut, que la Nature a fait toutes choses d’elle-même et sans connaissance, et non pas que ses ouvrages aient commencé par un cas fortuit. Τελευτών τόν κόσμον αύτόν ού ζώον εϊναι (φκσί,) τό δέ κατά φύσιν έπεσθαι τώ κατά τύχην. άρχήν γάρ ένδιδόναι τό αύτόματον, εϊτα οϋτώ περαίνεσθαι τών φυσικών παθών έκαςον. Denique mundum ipsum animal esse negat (Strato) vultque naturam sequi temerarios fortunæ impetus, initium enim rebus dare spontaneam quandam naturæ vim, et sic deinceps ab eadem natura physicis motibus imponi finem[12].

Cette traduction que j’ai trouvée à la page 58 du commentaire de Lescalopier, sur les livres de Cicéron de Natura Deorum, et où j’ai ajouté enim après initium, est meilleure que celle d’Amyot et que celle de Xylander ; elle a néanmoins quelque chose qui ne répond pas à l’idée qu’on se doit faire du sentiment de ce fameux philosophe, le plus grand de tous les péripatéticiens[13] : les termes temerarii fortunæ impetus dérangent la symétrie de son système ; et nous voyons que Lactance le distingue de celui des épicuriens ; il en ôte le cas fortuit. Qui nolunt, dit-il[14], divina providentia factum esse mundum, aut principiis inter se temerè coëuntibus, dicunt esse concretum, aut repente natura extitisse. Natura verò (ut ait Straton) habere in se vim gignendi, et vivendi, sed eam nec sensum habere ullum, nec figuram : ut intelligamus, omnia quasi sua sponte esse generata, nullo artifice, nec authore. Utrumque vanum et impossibile. Notez que Sénèque a mis dans les deux extrémités opposées le dogme de Platon et celui de Straton ; l’un ôtait le corps à Dieu, et l’autre lui ôtait l’âme[15]. Je crois avoir lu dans l’ouvrage du père Salier, sur les espèces de l’Eucharistie, que plusieurs anciens philosophes ou hérétiques ont enseigné l’unité de toutes choses ; mais n’ayant plus ce livre-là, je ne dis ceci qu’en passant. Le père Salier est un minime français. Son livre, imprimé à Paris l’an 1689, est intitulé : Historia scholastica de speciebus eucharisticis, sive de formarum materialium Natura singularis Observatio ex profanis sacrisque Authoribus. Il en est parlé dans l’Histoire des Ouvrages des Savants, au mois de septembre 1690, page 13.

Le dogme de l’âme du monde, qui a été si commun parmi les anciens, et qui faisait la partie principale du système des stoïques, est dans le fond celui de Spinoza. Cela paraîtrait plus clairement si des auteurs géomètres l’avaient expliqué ; mais comme les écrits où il en est fait mention tiennent plus de la méthode des rhétoriciens que de la méthode dogmatique ; et qu’au contraire Spinoza s’est attaché à la précision, sans se servir du langage figuré qui nous dérobe si souvent les idées justes d’un corps de doctrine, de là vient que nous trouvons plusieurs différences capitales entre son système et celui de l’âme du monde. Ceux qui voudraient soutenir que le spinozisme est mieux lié devraient aussi soutenir qu’il ne contient pas tant d’orthodoxie ; car les stoïciens n’ôtaient pas à Dieu la providence ; ils réunissaient en lui la connaissance de toutes choses, au lieu que Spinoza ne lui attribue que des connaissances séparées et très-bornées. Lisez ces paroles de Sénèque : Eundem quem nos Jovem intelligunt, custodem RECTOREMQUE universi, animum ac spiritum, mundani hujus operis dominum et artificem, cui nomen omne convenit. Vis illum fatum vocare ? non errabis. Hic est, ex quo suspensa sunt omnia, causa caussarum. Vis illum providentiam dicere ? recte dices. Est enim, cujus consilio huic mundo providetur, ut inconcussus eat, et actus suos explicet. Vis illum naturam vocare ? non peccabis. Est enim, ex quo nata sunt omnia, cujus spiritu vivimus. Vis illum vocare mundum ? non falleris. Ipse enim est, totum quod vides, totus suis partibus inditus, et se sustinens vi sua[16]. Quid est autem, cur non existimes in eo divini aliquid existere, qui Dei pars est ? Totum hoc quo continemur, et unum est, et Deus, et socii ejus sumus et membra[17]. Lisez aussi le discours de Caton, dans le IXe. livre de la Pharsale, et surtout considérez-y ces trois vers :

Estne Dei sedes nisi terra, et pontus, et aër,
Et cælum et virtus ? Superos quid quærimus ultra ?
Juppiter est quodcunque vides, quocunque moveris[18].

Je remarquerai en passant une absurdité de ceux qui soutiennent le système de l’âme du monde. Ils disent que toutes les âmes, et des hommes, et des bêtes, sont des particules de l’âme du monde, qui se réunissent à leur tout par la mort du corps ; et pour nous faire entendre cela, ils comparent les animaux à des bouteilles remplies d’eau qui flotteraient dans la mer. Si l’on cassait ces bouteilles, leur eau se réunirait à son tout : c’est ce qui arrive aux âmes particulières, disent-ils, quand la mort détruit les organes où elles étaient enfermées. Quelques-uns même disent que les extases, les songes, les fortes méditations réunissent l’âme de l’homme à l’âme du monde, et que c’est la cause pourquoi l’on devine l’avenir, en composant des figures de géomancie. Nihil heic attingo de arte illa prophetica deque geomantia, quibus ipse Fluddus quamplurimum tribuit. Etsi enim mens cogitando sic in seipsam colligi, ac veluti abstrahi possit, ut humanas res contempletur velut è quadam specula : attamen quod illa possit, quandiu hoc mortali circumvestitur corpore, ita uniri animæ mundanæ, ut sicut illa omnia cognoscit, ita ipsa particeps fiat cognitionis hujusmodi ; quòd illa item in hac exstasi digitos regat ad exprimenda varia punctula, ex quibus effectus sive arbitrarios, sive fortuitos colligere liceat, hoc aut longe fallor, aut fabulam sapit[19]. Il est facile de voir la fausseté du parallèle. La matière des bouteilles qui flottent dans l’Océan est une cloison qui empêche que l’eau de la mer ne touche l’eau dont elles sont pleines ; mais s’il y avait une âme du monde, elle serait répandue dans toutes les parties de l’Univers, et ainsi rien ne pourrait empêcher l’union de chaque âme avec son tout ; la mort ne pourrait pas être un moyen de réunion. Je m’en vais citer un long passage de M. Bernier, qui nous apprendra que le spinozisme n’est qu’une méthode particulière d’expliquer un dogme qui a un grand cours dans les Indes.

« Il n’est pas que vous ne sachiez la doctrine de beaucoup d’anciens philosophes, touchant cette grande âme du monde dont ils veulent que nos âmes et celles des animaux soient des portions. Si nous pénétrions bien dans Platon et dans Aristote, peut-être que nous trouverions qu’ils ont donné dans cette pensée. C’est là la doctrine comme universelle des Pendets, gentils des Indes ; et c’est cette même doctrine qui fait encore à présent la cabale des Soufis et de la plupart des gens de lettres de Perse, et qui se trouve expliquée en vers persiens si relevés et si emphatiques dans Goultchez-raz, ou Parterre des Mystères ; comme c’a été celle-là même de Flud que notre grand Gassendi a réfutée si doctement, et celle où se perdent la plupart de nos chimiques.

Or ces cabalistes, ou Pendets indous que je veux dire, poussent l’impertinence plus avant que tous ces philosophes, et prétendent que Dieu, ou cet être souverain qu’ils appellent Achar, immobile, immuable, ait non-seulement produit ou tiré les âmes de sa propre substance, mais généralement encore tout ce qu’il y a de matériel et de corporel dans l’Univers ; et que cette production ne s’est pas faite simplement à la façon des causes efficientes, mais à la façon d’une araignée qui produit une toile qu’elle tire de son nombril, et qu’elle reprend quand elle veut. La création donc, disent ces docteurs imaginaires, n’est autre chose qu’une extraction et extension que Dieu fait de sa propre substance, de ces rets qu’il tire comme de ses entrailles, de même que la destruction n’est autre chose qu’une reprise qu’il fait de cette divine substance, de ces divins rets dans lui-même : en sorte que le dernier jour du monde qu’ils appellent Maperlé ou Pralea, dans lequel ils croient que tout doit être détruit, ne sera autre chose qu’une reprise générale de tous ces rets que Dieu avait ainsi tirés de lui-même. Il n’est donc rien, disent-ils, de réel et d’effectif de tout ce que nous croyons voir, ouïr ou flairer, goûter ou toucher ; tout ce monde n’est qu’une espèce de songe et une pure illusion, en tant que toute cette multiplicité et diversité de choses qui nous apparaissent ne sont qu’une seule, unique et même chose, qui est Dieu même ; comme tous ces nombres divers que nous avons, de dix, de vingt, de cent, de mille, et ainsi des autres, ne sont enfin qu’une même unité répétée plusieurs fois.

Mais demandez-leur un peu quelque raison de cette imagination, ou qu’ils vous expliquent comme se fait cette sortie et cette reprise de substance, cette extension, cette diversité apparente, ou comme il se peut faire que Dieu n’étant pas corporel, mais Biapek, comme ils avouent, et incorruptible, il soit néanmoins divisé en tant de portions de corps et d’âmes ; ils ne vous paieront jamais que de belles comparaisons ; que Dieu est comme un océan immense, dans lequel se mouvraient plusieurs fioles pleines d’eau ; que ces fioles, quelque part quelles pussent aller, se trouveraient toujours dans le même océan, dans la même eau, et que se venant à rompre leurs eaux se trouveraient en même temps unies à leur tout, à cet océan dont elles étaient des portions ; ou bien ils vous diront qu’il en est de Dieu comme de la lumière, qui est la même par tout l’Univers, et qui ne laisse pas de paraître de cent façons différentes des objets[20] où elle tombe, ou selon les diverses couleurs et figures des verres par où elle passe. Ils ne vous paieront jamais, dis-je, que de ces sortes de comparaisons qui n’ont aucune proportion avec Dieu, et qui ne sont bonnes que pour jeter de la poudre aux yeux d’un peuple ignorant ; et il ne faut pas espérer qu’ils vous répondent solidement, si on leur dit que ces fioles se trouveraient véritablement dans une eau semblable, mais non pas dans la même[21], et que c’est bien une semblable lumière par tout le monde, mais non pas la même, et ainsi de tant d’autres fortes objections qu’on leur fait ; ils reviennent toujours aux mêmes comparaisons, aux belles paroles, ou comme les Soufis, aux belles poésies de leur Goultchez-raz[22]. »

Vous allez voir un passage qui nous apprendra que Pierre Abélard est accusé d’avoir dit que toutes choses étaient Dieu, et que Dieu était toutes choses. Primam elementorum concordiam esse Deum et materiam ex quâ reliqua fierent, docuit Empedocles… Hæc erat illius ætatis theosophia, hæc notitia quæ de causa-principe habebatur. Jam tandem obsoleverat, et inter veterum somnia et phantasmata recensebatur. Eam inter veteris philosophiæ parietinas et rudera nevocavit Petrus Abailardus, ingenio audax, et famâ celeber : sepultam cineribus invenit, et quasi Euridicen Orpheus ab inferis tandem revocavit : Testor Vazquezium I°. part., quæst. 3, art. 8, num. 28. et Smisingum de Deo uno tract. I, disp. 2, quæst. 2, num. 54, Deum esse omnia, et omnia esse Deum, eum in omnia converti, omnia in eum transmutari asseruit, quia Empedoclæâ, aut fortè Anaxagoricâ præventus theosophiâ, distinguebat species secundum solam apparentiam, nempe quia aliquot atomi in uno subjecto erant eductæ quæ latebant in alio [23].

Notes et références

  1. Voyez l’article ABUMUSLIMUS, tom. I, p. 103, remarque (A).
  2. Bespier, Remarques curieuses sur Ricaut, État présent de l’Empire ottoman, pag. 548.
  3. Pietro della Valle, pag. 394 du IIIe. tome, cité par Bespier, là-même.
  4. Asseruit Deum esse materiam primam, quod nemo ante eum deliraverat. Theoph. Raynaud., Theol. Naturali, distinct. VI, num. 6, pag. 563.
  5. Albertus, in I. Phys., tract. III, c. XIII, apud Pererium de Communibus Principiis, lib. V, cap. XII, pag. m. 309, 310.
  6. Is est, opinor, quem inter sodales suos memorat Plutarchus II, sympos. 3. Thomasius, dissertat. XIV ad Phil. Stoïc., pag. 199.
  7. Ad lib. I. Thomæ contra Gentil., c. 17. f. 23. ed. Lugd., A. 1586. Thomas., ibidem, pag. 200.
  8. Voyez Prateolus, in Elencho Hæresum, voce Almaricus, pag. m. 23. Il dit que, selon quelques auteurs, cet hérétique et ses adhérents furent brûlés vifs.
  9. Hæc de Amalrico Gerson tract. de Concord. Metaph. cum Log., part. IV, Oper. alphab. 20. lit. N. ex Hostiensi et Odone Tusculano. Thomasius, dissert. XIV ad Phil. Stoïc., pag. 200.
  10. Cicero, de Nat. Deorum, lib. I, c. LI.
  11. Idem, Academ. Quæst., lib. II, cap. XXXVIII.
  12. Plutarchus, adversus Colotem, pag. 1115, B.
  13. Τών άλλων Περιπατητικών δ κορυφαιότατος Στράτων. Peripateticorum reliquorum summus Strato. Plutarch., ubi suprà.
  14. Lactant., de ira Dei, cap. X, pag. m. 533.
  15. Ego feram aut Platonem aut peripateticum Stratonem, alter fecit Deum sine corpore, alter sine animo ? Seneca, in libro contra Supertitiones, apud Augustin., de Civit. Dei, lib. VI. cap. X.
  16. Seneca, Quæst. natur., lib. II. c. XLV.
  17. Idem, epist. XCII, pag. m. 381.
  18. Lucan, Phars., lib. IX, vs. 578.
  19. Gassendus, in Examine Philosoph. Fluddanæ, num. 29, Operum tom. III, pag. 247.
  20. Il y a sans doute ici une faute d'impression dans le livre de M. Bernier ; il faut lire, selon la diversité des objets, etc.
  21. Notez que les spinosistes ne répondent pas mieux à la distinction perpétuelle dont on les accable, entre même et semblable.
  22. Bernier, Suite des Mémoires sur l’Empire du grand Mogol, pag. 202 et suiv., édition de Hollande.
  23. Caramuel, Philosophiæ Realis, lib. III, sect. III, pag. 175.
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