Spinoza - par Alain/Table analytique

De Spinoza et Nous.
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par Alain

Table analytique

des matières et des références


Spinoza par Alain

Préface

La vie et les œuvres de Spinoza

Conclusion

Table analytique des matières et des références

La vie et les œuvres de Spinoza
La philosophie de Spinoza

Mémento bibliographique

N. B. Nous renvoyons aux divisions indiquées par l'auteur même, pour l'Éthique, le Traité Politique, le Traité Théologico-Politique ; les Lettres sont désignées par leur numéro d'ordre dans l'édition originale et c'est celui qui leur est conservé dans la plupart des éditions. Le Traité de la Réforme de l'entendement n'a pas de divisions naturelles ; l'auteur est allé à la ligne soixante-douze fois; nous supposons cet ouvrage divisé en soixante-douze alinéas.


Sommaire

La vie et les œuvres de Spinoza

Que sa vie fut d'un sage. Tr. Th.-p., Préf. Épist., 54

Qu'il fut accusé d'athéisme. Épist., 47, 49

Les œuvres de Spinoza

La philosophie de Spinoza

Introduction

Que les hommes sont méchants et malheureux. Éth., III, P. 32, Sch. ; IV, P. 37, Sch. 1

Tr. de la R., 3 ; Tr. Th.-p., Préf.

Que la superstition ajoute encore à leur malheur. Éth., IV, P. 63, Sch. ; Append., ch. XXXI

Que le remède est dans la révélation intérieure. Éth., IV, P. 68, Sch. ; Tr. Th.-p., ch. I, IV, XV

I. La méthode réflexive

Que la vérité n'est pas un caractère extrinsèque de l'idée. Éth., II, Déf. 4 ; Tr. de la R., 38 ; Épist., 27

De la connaissance par ouï-dire et par expérience (1er genre). Tr. de la R., 11, 12, 15, 22, 23

Distinction entre l'existence et l'essence. Tr. de la R., 38, 48, 50, 67, 69 ; Tr. Pol., II, 2

Que les idées abstraites sont tout à fait confuses. Éth., II, P. 40, Sch. 1 ; Tr. de la R., 31, 47, 56

De la connaissance déductive ou Raison (2e genre). Tr. de la R., 15, 24 ; Épist., 42.

Différence entre la fiction et l'idée vraie. Tr. de la R., 33, 34, 36, 37

Ce que c’est que connaître les choses comme éternelles. Éth., II, P. 44 ; Tr. de la R., 57, 67

Que la déduction ne se suffit pas à elle-même. Épist., 45

Que la déduction suppose la connaissance intuitive (3e genre). Éth., II, P. 40, Sch. 2 ; Tr. de la R., 15, 25

Que le vrai est nécessairement comme immédiatement. Éth., II, P. 43, Sch. ; Tr. de la R., 26

Ce qu'est la méthode réflexive. Tr. de la R., 26, 60

Qu'il faut partir de l'idée de Dieu. Tr. de la R., 38

II. De Dieu et de l'âme

Idée de Dieu. Éth., I, Déf. 3 et 6 ; Tr. de la R., 39, 51 et sqq. ; Épist., 29

Existence de Dieu. Éth., 1, P. 7, 11 ; Épist., 29 Tr. de la R., 53

Qu'il n'y a qu'un Dieu. Éth., I, P. 5, 12, 13, 14 Épist., 39

L'éternité de Dieu. Éth., I, P. 19, 20 ; Épist., 29

Dieu cause de tout. Éth., I, P. 16, 18

Des attributs de Dieu et notamment de l'étendue et de la pensée. Éth., I, Déf. 4, P. 9 ; II, P. 1, 2 ; Épist., 66

Des modes. Éth., I, Déf. 5

Que l'idée d'une chose a pour cause Dieu en deux sens. Éth., II, P. 3, 8, 9

De l'âme humaine, comment elle est unie au corps. Éth., II, P. 11 ; III, P. 2, Sch.

Que l'âme perçoit ce qui se passe dans le corps. Éth., II, P. 12

De l'imagination. Éth., II, P. 16, 17 ; Tr. de la R., 41

De la mémoire. Éth., II, P. 18, Sch.

Que la connaissance du premier genre est nécessairement inadéquate. Éth., II, P. 25, 26, 28, 30, 31

Des fausses idées générales. Éth., II, P. 40, Sch. 1 ; Tr. de la R., 31, 47, 56

De la contingence et de l'idée de temps. Éth., 11, P. 44, Sch.

Que la connaissance du deuxième genre ou Raison est nécessairement vraie. Éth., II, P. 37, 38, 39, 40, 41

Qu'il n'y a rien de positif dans l'erreur. Éth., II, P. 33, 35

Que la volonté n'est pas distincte de l'entendement, ni le jugement, de l'idée. Éth., II, P. 49

Qu'il n'y a point de volonté libre. Éth., II, P. 48, 49, Sch. ; III, P. 2, Sch.

Où l'homme doit chercher la vérité et le bonheur. Éth., IV, P. 1, Sch. ; V, P. 20, Sch.

III. Des sentiments et des passions

Que nos passions résultent de notre limitation. Éth., III, Préf. ; IV, P. 2,3

Ce que c’est qu'agir et pâtir. Éth., III, Déf. 1, 2, P. 1 ; Tr. de la R., 68

Ce que c'est qu'action et passion. Éth., III, P. 3 ; IV, Append., ch. II

Que les passions résultent des idées inadéquates. Éth., III, P. 1, 3

Toute chose s'efforce de persévérer dans l'être. Éth., II I, P. 4, 6

En quel sens il y a dans l'âme la volonté et le désir. Éth., III, P. 7, 9, 39, Sch. Déf. des Sts, 1

De la Joie et de la Tristesse. Éth., III, P. 11, Sch., Déf. gén. des Sts. Expl.

De l'Amour et de la Haine. Éth., III, P. 12, 13, Sch.

Effets de l'association des idées sur les sentiments. Éth., III, P. 14, 15, 16, 17, 36, 46, 50.

De l'Espérance et de la Crainte. Éth., III, P. 18

Des sentiments qui résultent en nous de la tristesse et de la joie d'autrui. Éth., III, P. 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26

De l'influence de l'imitation sur les sentiments. Éth., III, P. 27, 29, 30, 31

De l'envie et de la jalousie. Éth., III, P. 32, 33, 34, 35

Des sentiments qui résultent en nous de l'amour et de la haine qu'éprouvent les autres. Éth., III, P. 40, 41, 42, 43, 44, 45

Que l'homme hait plus un autre homme que n'importe quoi. Éth., III, P. 32, Sch. ; P. 38, 48, 49 ; IV, Append., ch. X.

Que les sentiments sont tous différents. Éth., III, P. 51, 56, 57 ; Tr. Pol., 1, 4

IV. De l'esclavage de l’homme

Comment les hommes sont amenés à vivre en société. Éth., IV, P. 35, Sch. ; P. 37, Sch. 2 ; Tr. Th.-p., ch. V, XVI ; Tr. p., II, 13, 15 ; V, 2

Comment une passion est contenue par une passion contraire. Éth., IV, P. 71

Ce qu'on appelle alors bien et mal. Éth., IV, P. 37, Sch. 2 ; Append., ch. XVI, XXXI

À quel point de vue sont alors distingués des vices et des vertus. Éth., IV, P. 37, Sch. 2

Que la tristesse est nécessairement mauvaise. Éth., IV, P. 41, 45, Sch.

Que la haine est nécessairement mauvaise. Éth., IV, P. 45, Sch.

Que la pitié est une fausse vertu. Éth., IV, P. 50

Que le repentir est une fausse vertu. Éth., IV, P. 54

Que l'humilité est une fausse vertu. Eth., IV, P. 53, 55, 56 ; Append., ch. XXII, XXIII

Que la crainte de l'opinion est une fausse vertu. Éth., IV, P. 48, 49

Que la crainte de la mort n'est pas conforme à la raison. Éth., IV, P. 47, 67

Que le bien véritable ne résulte pas de ce qu’on évite le mal. Éth., IV, P. 63 ; Append., ch. XXV

Que la seule pensée du mal est mauvaise. Éth., IV, P. 8, 64, 68 ; Append., ch. XXV

Que les hommes ne peuvent être sauvés que par l'idée de Dieu. Éth., IV, P. 68, Sch.

V. De la raison

Qu'aucune liberté véritable ne peut résulter de la connaissance du premier genre. Éth., IV, P. I, Sch.

Qu'il est inutile de s'insurger contre les passions. Éth., IV, P. 1, 2, 3, 4, 15 ; V, préf.

Que ceux qui paraissent se sacrifier sont en réalité esclaves. Éth., IV, P. 20, Sch. P 25

Que ceux qui se tuent sont esclaves. Éth., IV P. 20, Sch.

Que l'individu ne peut désirer un bien extérieur à lui. Éth., IV, P. 21, 22, 25 ; Tr. Pol., 11, 3

Que le désir de persévérer dans l'être est le seul fondement de la vertu. Éth., IV ; Déf. 8, P. 20 ; Tr. Pol., II, 3, 4

Que la Joie est bonne. Éth., IV ; P. 41, 45, Sch. ; Append., ch. XXXI

Distinction du plaisir et de la gaieté. Éth., IV, P. 42, 44, Sch. ; 45, 60 ; Append., ch. XXX

Ce que C'est qu’agir réellement ; que c'est comprendre. Éth., IV, P. 23, 24, 26, 27 ; Tr. Pol., II, 11

Que la Raison est une source de joie. Éth., III, P. 53, 58, 59

Que la Raison est le vrai bien,. Éth., IV, P. 26, 27, 61

Que c'est par l'idée de Dieu que la connaissance du deuxième genre ou Raison est possible. Éth., IV, P. 28 ; Append., ch. IV

En quoi l'homme raisonnable diffère de l'homme passionné. Éth., IV, P. 59, 62, 66, 69 ; V, P. 7

En quel sens la Raison nous donne de la puissance contre nos passions. Éth., IV, P. 4, Cor. ; P. 59 -, V, P. 3, 4 , Sch., 5, 20 Schol.

Que rien n'est plus utile à l'homme raisonnable que l'homme raisonnable. Éth,, IV, P. 29, 30, 31, 35, 71 ; Append., ch. IX.

Que la Raison est source de concorde et non de haine. Éth., IV, P. 36, 37

Que l'homme raisonnable répond à la haine par l'amour. Éth., IV, P. 46

Que l'homme raisonnable ne peut être perfide. Éth., IV, P. 72.

Qu'en obéissant aux lois, il reste libre. Éth., IV, P. 73 ; Tr. Pol., III, 7 ; IV, 4

VI. De la liberté et de la béatitude

Que c'est Dieu qui sauve l'homme raisonnable. Éth., II, P. 40 ; IV, P. 28 ; Append., ch. IV

Mais que l'homme raisonnable peut vivre néanmoins selon la vertu, en ignorant Dieu. Éth., V, P. 41.

Que pourtant il y a une connaissance supérieure à la Raison, qui est la connaissance du troisième genre. Éth., II, P. 40, Sch. 2 ; V, P. 25, 28 ; Tr. de la R., 15, 25, 26

Que cette connaissance est supposée par la déduction. Éth., II, P. 40, Sch. 2 ; P. 43, Sch. ; V, P. 36, Sch.

Que l'âme humaine peut connaître Dieu. Éth., II, P. 45, 46, 47 ; V, P. 14, 24, 30 ; Tr. Th.-p., ch. IV

Que cette connaissance est aussi amour de Dieu. Éth., V, P. 15, 27, 32.

Que cet amour intellectuel de Dieu est éternel. Éth., V, P. 18, 19, 20, 33, 34, 37

Différence entre la Raison et la Connaissance du troisième genre. Éth., V, P. 33, 36, Sch.

Que l'on ne peut passer à la connaissance du troisième genre que de la connaissance du deuxième genre. Éth., V, P. 28.

Éternité de l'âme en Dieu. Éth., V, P. 22, 23, 29, 31

Que la béatitude n'est pas la récompense de la vertu, mais la vertu même. Éth., IV, P. 38, 39 ; V, P. 38, 39, 42.


Conclusion Spinoza - par Alain Mémento bibliographique
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