à aldo
depuis je-ne-sais quelle conscience spécifique à chacun.
Bien évidemment la question de la
vérité se pose
Au fond c'est çà, un pour un philosophe comme pour un scientifiques, comme tout un chacun, personne ne souhaite vivre dans l 'illusion.
Or la vérité se constitue là où elle s'affirme, c'est à dire dans la conscience d' elle même comme certitude. SI
la vérité pose problème on ne peut évacuer la conscience.
SI elle ne pose pas problème effectivement on peut éviter la conscience.
Il semble que la vérité ne pose pas de problèmes aux animaux ( et encore c'est à savoir... savoir si mon chien est insensible à la possibilité de leurre/ illusion.
Pour l homme il est patent que la clarté et la distinction, qui sont conscientes, sont des critères de certitude. Et on négligerait de savoir ce qu'il en est de cet état là.
On laisserait l 'état de certitude en jachère comme un acquis chanceux et sacré auquel il ne faudrait pas toucher.
On le contournerais ( cet état de conscience) sans vouloir y pénétrer plus avant.
C' est à dire que la certitude
ne ferait pas sens,elle ne renverrait à rien.
Etre conscient (avoir une science) ne serait ni absurde ni signifiant , ce serait là, comme comme immanence absolue, sans transcendance, effectivement.
Mais non, car ma conscience est
un désir.(
et c' est un peu là que je Sescho et moi nous opposons ).
Je pense ou je suis conscient est un acte ou
en acte.
Et l'acte tend ...il tend , il fait un effort. La conscience est ouverte ... à une transcendance.
bon ... à plus
