Je reprends mot à mot la question que j'avais déjà posée sur un autre fil :
- Il existe un livre de D. Pezeril (qui était évêque catholique): Spinoza l'étranger aux Editions du Cerf, sur sa lecture du philosophe.
Est-ce que quelqu'un a lu ce livre et pourrait en dire quelques mots ?
Merci de toute réponse.
Pezeril et Spinoza
- hokousai
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non je ne l'ai pas lu et je ne savais même pas qu' il existait .Toujours Intéressant de voir des catholiques bien intentionnés envers Spinoza ( il n'y a pas foule )
je vous recopie cela
""""L'intérêt que Daniel Pezeril a porté sa vie durant à la pensée non chrétienne est né de ses études de philosophie à la Sorbonne, pendant son noviciat chez les Oratoriens, et particulièrement du choc provoqué par la lecture de Spinoza. Il voulut, à la fin de sa vie, questionner une fois de plus celui qui figurait à ses yeux « l'étranger » par excellence. C'est en reprenant son vieil exemplaire de « L'Éthique » - commenté par Charles Appuhn, dans « Les Classiques Garnier », et surchargé de ses propres notes – qu'il écrivit cet essai.
La première version devait figurer dans « Le Christ étonné » et faire pendant à son étude sur saint Augustin, mais devant l'ampleur qu'elle prenait il y renonça. Nous avons en général suivi la seconde version en conservant les éclats de la première. [F. D.]"""""
je vous recopie cela
""""L'intérêt que Daniel Pezeril a porté sa vie durant à la pensée non chrétienne est né de ses études de philosophie à la Sorbonne, pendant son noviciat chez les Oratoriens, et particulièrement du choc provoqué par la lecture de Spinoza. Il voulut, à la fin de sa vie, questionner une fois de plus celui qui figurait à ses yeux « l'étranger » par excellence. C'est en reprenant son vieil exemplaire de « L'Éthique » - commenté par Charles Appuhn, dans « Les Classiques Garnier », et surchargé de ses propres notes – qu'il écrivit cet essai.
La première version devait figurer dans « Le Christ étonné » et faire pendant à son étude sur saint Augustin, mais devant l'ampleur qu'elle prenait il y renonça. Nous avons en général suivi la seconde version en conservant les éclats de la première. [F. D.]"""""
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